Date de sortie : 28 Mars 2007
Sortie USA: 05 Janvier 2007
Réalisé par : Gerhard Hahn et Paul J. Bolger
Scénario : Robert Moreland
Musiques : Paul Buckley
Avec : Catherine Frot (Frida (voix française)), Laura Smet (Cendy (voix française)), Bruno Salomone (Rick (voix française)), Dany Boon (Le Prince (voix française)), Ramzy (Mambo (voix française))
Origine : Etats Unis, Allemagne
Genre : Animation
Durée : 1h20
Année de production : 2007
Titre original : Happily N'Ever After
Sur le net : www.tfmdistribution.com/cendrillonetleprincepastropcharmant
Site Officiel en anglais : www.happilyneverafterthefilm.com
Au pays des contes de fées plus rien ne va. La sorcière fait encore des siennes, le petit chaperon rouge ne répond plus présent, le prince charmant tombe dans un sommeil ou seul Cendrillon peut faire quelque chose pour le sauver, lui et les autres héros de contes enchantées...
Premier constat, l'animation n'est pas à la hauteur. Pourquoi faire absolument de la 3D lorsque cela n'est pas nécessaire? Les décors comme les personnages ne paraissent pas animés et reste plutôt des dessins.
Concernant l'histoire, rien de vraiment exceptionnel. plutôt que de suivre un scénario bien qu'il ne pouvait être que linéaire, le film d'animation préfère ne ressembler qu'à une succession de gags qui forment un ensemble parfois pas toujours cohérent de surcroit. L'humour est souvent au ras des pâquerettes, et pire que tout, la veine parodique est totalement absente de l'histoire, un comble alors que Shrek 3 arrivent d'ici quelques mois.
Cendrillon le film (pas trop) charmant
Le film s'adresse uniquement aux enfants ce qui semble être une mauvaise idée car la ou la puissance de Shrek était de posséder un double langage, s'adressant à la fois aux enfants et aux plus vieux, ce Cendrillon là ne possède rien, pas même une jolie morale comme le possède le conte original. Pas marrant pour un sou, l'on sent qu'il y a une volonté de bien faire mais que rien ne parvient à combler les attentes du spectateur. Vide de sens et de contenu, le film reste modeste mais pas assez cependant pour l'emporter face à la multitude de films d'animation en 3D que nous pouvons voir ces derniers temps...
Côte d'amour :
