Article posté par ΨKeitaro.
Paru le jeudi 27 septembre 2007 à 00:18
Vu 269 fois.
Captivity
Côte d'amour :
Captivity
Date de sortie : 08 Aout 2007 Sortie USA :13 Juillet 2007 Réalisé par : Roland Joffé
Scénario : Larry Cohen
Musiques : Marco Beltrami
Avec : Elisha Cuthbert (Jennifer Tree), Daniel Gillies (Gary), Pruitt Taylor Vince (Ben Dexter), Laz Alonso (Disantos), Michael Harney (Bettiger)
Pays : Etats Unis
Genre : Thriller / Horreur
Durée : 1h35
Année de production : 2005
Titre original : Captivity
Jennifer Tree est la nouvelle top que s'arrachent les photographes et couturiers new-yorkais.
La fille qui fait rêver le grand public... pour le meilleur et pour le pire.
Un soir, Jennifer est suivie dans la rue par un homme, qui parvient à la droguer. Elle se réveille dans une cellule préparée à son attention et remplie d'objets personnels volés dans son appartement. Son ravisseur l'oblige à regarder des vidéos de femmes torturées dans cette cellule, avant de la soumettre elle-même jour après jour à d'horribles sévices.
Durant son calvaire, Jennifer découvre qu'elle n'est pas seule. Un jeune homme, Gary, est également retenu en captivité dans la pièce voisine. Elle entre en contact avec lui, dans l'espoir de trouver une issue à son cauchemar.
Critique :
En cherchant à recycler tout ce qui a fait le succès de Saw ou de Hostel, le film se perd rapidement car n'innove jamais. Le tout qui aurait pu faire un parfait court métrage se perd très vite apres la première demi heure.
Quelques scènes permettent d'avoir son lot de séquences gore mais le tout est réalisé trop mollement pour intéresser un tant soit peu. Trop calibré, le film tente de se démarquer en tentant une approche psychologique face à l'enfermement, hélas rapidement abandonnée pour la vengeance et la fuite du personnage. On ne prend jamais parti et il ne se déroule qu'une vingtaine de minutes avant de comprendre enfin l'intrigue et donc par la, le résultat final du film, Elisha Cuthbert ne faisant jamais illusion tout au long de sa captivité.
Hélas la minceur du scénario atteint vite ses limites et la captivité tournant en rond, il faut bien trouver une idée pour conclure le film après seulement 30 minutes.
Finalement, si Captivity a fait tant parler de lui c'est surtout par son affiche choc bien avant la sortie du film et non pas pour son histoire en manque total d'imagination.