Article posté par ΨKeitaro.
Paru le mardi 8 mai 2007 à 20:13
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Goal II la consécration
Goal II la consécration
Date de sortie : 11 Avril 2007
Réalisé par : Jaume Collet-Serra
Scénario : Adrian Butchart, Mike Jefferies, Terry Loane
Musiques : Danny Elfman
Avec : Kuno Becker (Santiago Munez), Anna Friel (Roz Harmison), Stephen Dillane (Glen Foy), Alessandro Nivola (Gavin Harris), Nick Cannon (TJ Harper)
Origine : Grande Bretagne
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h56
Année de production : 2006
Titre original : Goal! 2: Living the Dream...
Site Officiel en anglais : www.goalthemovie.com
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Goal II a perdu en charme le peu que possédait le premier film de la saga. On poursuit avec peu d'envie le parcours du jeune Santiago, déjà starisé avec le Real de Madrid et - il faut bien l'avouer - il ne lui arrive pas grand chose à ce pauvre joueur sur le banc au début du film avant de prendre la place des meilleurs éléments des galactiques par la suite, entre Zidane et Beckham. Entre gloire et argent, le jeune joueur perd pied. Filles facile, a triompher avec la gloire on ne trouve pas forcément le bonheur. L'équilibre est fragile et le film bancal. L'aventure et la fausse biographie de ce joueur se transforme vite en mélimélo, dramatique dans tout les sens du terme. On s'ennuie ferme et ce ne sont pas les quelques séquences de jeu qui nous feront rattraper le retard pour ceux qui auront pris le train en marche. Suite sans suites de la vie d'un jeune prodige du football, il faut reconnaitre que le seul intérêt et de voir en action quelques uns des plus grands footballeurs de la planète mais les plus initiés reconnaitront que les matchs (Real Madrid - Lyon en Ligue des Champions) ne reflètent pas la réalité.
Tout tourne court, on nous promet paillettes mais le tout est sans réel rythme. Pubs géante pour un sport, morale à deux sous, loin du salaire du jeune Santiago dans le film.
Mal filmé, mal joué, sans intrigue et pire que tout, tourné avec peu ou pas d'envie, la trilogie promise sur le ballon rond ne touche pas au but.
Pas de consécration pour le film, et que dire sinon qu'un troisième film sortira sous peu. Reste à savoir quelle direction prendra le joueur, finaliste de la coupe du monde ? relégué en deuxième ligue dans un club moins huppé ? Tout reste possible, même un retour en force de la réalisation car ce second volet, qui n'utilise que très peu des possibilités que le réalisateur nous promettait, n'est au final qu'une surdose et une surenchère émotionnelle et narrative qui ne sert aucunement l'histoire et surtout qui ne réserve aucune surprise.
Goal II a perdu en charme le peu que possédait le premier film de la saga. On poursuit avec peu d'envie le parcours du jeune Santiago, déjà starisé avec le Real de Madrid et - il faut bien l'avouer - il ne lui arrive pas grand chose à ce pauvre joueur sur le banc au début du film avant de prendre la place des meilleurs éléments des galactiques par la suite, entre Zidane et Beckham. Entre gloire et argent, le jeune joueur perd pied. Filles facile, a triompher avec la gloire on ne trouve pas forcément le bonheur. L'équilibre est fragile et le film bancal. L'aventure et la fausse biographie de ce joueur se transforme vite en mélimélo, dramatique dans tout les sens du terme. On s'ennuie ferme et ce ne sont pas les quelques séquences de jeu qui nous feront rattraper le retard pour ceux qui auront pris le train en marche. Suite sans suites de la vie d'un jeune prodige du football, il faut reconnaitre que le seul intérêt et de voir en action quelques uns des plus grands footballeurs de la planète mais les plus initiés reconnaitront que les matchs (Real Madrid - Lyon en Ligue des Champions) ne reflètent pas la réalité.
